golfe de gascogne sous spi

golfe de gascogne sous spi

dimanche 23 juillet 2017

bien arrivé a Madere

Voilà, arrivée samedi vers 23h30 après une journée très ensoleillée et un vent autour de 12 noeuds, un peu faible pour nous. On s est un peu fait rattraper sur la fin par des bateaux qu on avait dépassés la veille. Sur la souris on est un peu trop exigeant, on espère toujours du vent fort, mais c est loin d être le cas. Mais on ne se plaint pas, on a eu de belles journées de glissades, un passage du cap Finistère ou à quelques heures près, on a subit un passage à niveau fatal pour le classement final mais bon, on a passé une super semaine avec Franck, on est déjà impatient d y retourner, le bateau n'a subi aucune avarie et est près à repartir.
de jour comme de nuit
Un grand merci à tous pour vos messages, on se retrouve en janvier et la, on va attaquer avec encore un peu plus d expérience et d envie ....


ha le pouff , quelle trouvaille !!!


quinta de Lorde, repos mérité
Franck a la stratégie, ou peut être DJ

samedi 22 juillet 2017

La dernière ligne droite

Vous Y êtes presque
encore un effort
allez vous pouvez finir 25 ème
allez encore
voguez





on est juste derrière vous
vous vous reposerez après!!



reflexion sur notre changement de strategie

Si nous avions continué tout droit dans ce bord de près, nous serions rentrés directement sur la jetée qui limite le grand port de La Corogne. Mais ce qui nous attendais était une tout autre bagarre, celle d'une remontée contre le vent et les courants pour passer le Cap Finistère Espagnol coincé entre la très belle côte assez escarpée avec des falaises de granite et cette fameuse DST interdite pour nous. Dans la nuit très humide mais pas froide, le vent forcit entre 20 et 25 nœuds mais la mer est assez plate comme si la DST formait une digue au large. A nouveau on essaie tout pour faire avancer lasouris mermon contre vents et courants. Dans la journée précédente on avait réalisé qu'au-delà de 13/14 nœuds de vent réel au près, il était préférable de mettre un ris. L'effet est Surprenant : a 14 nœuds, si on met 1 ris, le bateau accélère de 1,5 nœuds ! Pourquoi ! Longues réflexions partagées pour comprendre et l'explication trouvée serait que avec les nouvelles voiles que JP a fait dans l idée d améliorer les performance au près, l'équilibre du bateau est rompu avec une grand-voile trop grande et trop reculée ce qui oblige un rééquilibrage avec la barre qui engendre un fort couple de rappel par la barre qui freine le bateau. Une fois le ris pris, la barre devient presque légère et le bateau est équilibré et il accélère !
Une découverte qu'il faudra sûrement à nouveau reprendre dans le futur pour améliorer le près. En attendant, rassuré de cette découverte nous attaquons cette remontée le couteau entre les dents. Louvoyage entre la côte et la DST sans trop s'approcher de la côte car le vent faiblit fortement à son approche (le vent butte contre la côte). Et la, une deuxième découverte sur le fonctionnement du bateau : en cherchant à faire avancer cette enclume au plus vite au près dans le vent, on réalise que plus on gîte, plus le bateau accélère . Le bateau est posé sur une surface plane qui navigue très bien et sans résistance. On se retrouve donc quasi debout dans le bateau qui est couché et qui accélère de façon très saine ! Certes la position pour nous n'est pas confortable (si on tombe, on tombe de près de 3 mètres de haut), mais assez rassurante car stable et saine. Si la vitesse est bonne, le résultat sur la route fond n'est quand même pas très bon car notre cap de remontée au vent est mauvais. Le courant y est pour quelque chose mais nos concurrents qui sont bord à bord remontent environ de 15 degrés de mieux avec une vitesse légèrement inférieure à la notre. Peut être que si ces francs bords étaient dessinés avec un angle de 15 20 degrés par rapport à la verticale (au lieu d'être verticaux), cette positions stable au près serait obtenue avec 15 20 degrés de moins de gîte (réflexion pour François, l'architecte du bateau)
Vous l'avez compris, la remontée dans le vent de ce cap Finistère a été difficile, dans une nuit noire et humide et sans une seconde de repos possible.
Lorsque nous sommes à la hauteur de la partie nord-sud de la DST, on cherche à virer le plus près possible de la DST afin de rester le plus à l'extérieur possible en espérant toucher la bascule Nord Ouest rapidement. Pour faire ces virements a quelques 100 mètres de la DST, on utilise 2 GPS avec carte afin d'être certain de ne pas rentrer dans cette zone interdite pour nous.
On le sera plus tard mais ceux qui ont fait le tour de la DST par l'extérieur ont touché cette bascule en début de nuit alors que nous l'aurons finalement qu'en fin d'après midi le lendemain soit près de 20 heures après ! 20 heures à se battre contre le vent puis à attendre le vent pendant que le groupe extérieur avance à fond vers le sud. Certes, ils avaient du chemin supplémentaire à faire pour y arriver et probablement dans peu de vent (ce qui nous a décidé à passer par l'intérieur) mais après cela ne devait être que du bonheur…
Nous sommes des grands cons car les conseils d'un routeur avant le départ nous avait bien prévenu que ce passage intérieur était beaucoup plus risqué à cause du courant et du vent qui tamponne la côte espagnole ce que les modèles de vent ne tiennent pas bien en compte.
Pourquoi avons-nous pris cette décision très importante contraire à son conseil et à notre avis/decision commune de passer par l'extérieur avant de quitter le port de Lorient ?
- Le fichier GRIB (vents) reçu après le passage de la zone de calme montrait une zone sans vent beaucoup plus vaste que 2 jours plus tôt et qui s'étendait assez loin au large couvrant la zone extérieure de la DST. La simulation faite donnait le passage par l'intérieur plus rapide. Je pense donc que la différence de situation météorologique entre le moment du départ et la sortie de la zone de calme méritait que l'on remette en cause ce choix stratégique initial.
- Cette nouvelle donne météo nous faisait rentrer de toutes les façons (les 2 scénarios) dans ce vent de Sud avec une certitude de le garder jusqu'à la sortie des la DST si on passe par l'intérieur et une grande incertitude sur le vent que l'on aura à l'extérieur de la DST. Notre analyse (trop rapide) nous a donc fait changer de stratégie.
- Le manque de confort possible dans le bateau pour s'installer au moins 2 à 3 bonnes heures devant l'ordinateur pour télécharger plusieurs fichiers meteo, les comparer, analyser l'evolution des masses d'air (que nous ne savons pas faire) et re-décider du choix à prendre. Car pendant ce temps on se fait secouer au près dans les conditions que je viens de décrire.
- Pourquoi ne pas avoir pris ce temps lors de la période de calme avant de toucher le vent de sud ? Pour plusieurs raisons dont la principale était volontaire : on s'était dit que tant que l'on est pas sorti de cette zone de calme, on est dans la grande incertitude de savoir quand on va pouvoir reprendre de la vitesse. Donc dans une grande incertitude de l'heure à laquelle on va pouvoir appliquer une stratégie. Cette incertitude peut être de 6 à 12 heures. Donc faire des simulations, certes au calme, avec autant d'incertitudes peut user notre temps et notre argent en communications Iridium très chères. On avait donc clairement décidé d'attendre que nous sortions de cette zone de calme pour faire ce travail. D'autre part, pendant cette zone de calme, nous étions très actifs pour essayer d'en sortir le plus vite possible. Donc l'un de nous était en continu en train de régler le bateau. Nous avons passé cette zone de calme en pleine nuit ce qui n'est pas facile pour faire cette activité de réglage dans une pétole invisible. L'autre essayait de récupérer des 2 jours précédents presque sans sommeil.
Nous avons peut être manqué de lucidité sur cette décision mais il est sur que malgré nos difficultés au près, nous avions le potentiel de nous battre en tête de la course, sachant que nous avons fait sur 2 jours au moins, la meilleure distance en 24h de toute la flotte ce qui restera pour nous une belle performance au vue du niveau des participants.

Ces lignes ont été écrites lors de mon dernier quart de nuit de 2 à 5 heures du matin dans notre dernière nuit en mer alors que JP dort et que la Voie lactée est parfaitement visible car perturbée par aucune lumière à des centaines de km à la ronde et une lune totalement absente.

vendredi 21 juillet 2017

tout shuss vers madere

2ieme jour de portant sous grand spi tous à la file vers tendus vers l objectif que l on devrait atteindre demain soir. On voit enfin depuis hier des bateaux apparaîtront à lAIS devant nous, c'est bon signe même si sûrement un peu tard. On essaie de faire avancer la machine au max par des réglages, la répartition des poids dans le bateau et surtout en barrant le plus possible. Franck fait parler ses talents de champion de tornado et fait des merveilles.
On a un vent de 12 à 17 noeuds, il en manque juste un peu pour la souris pour vraiment faire des différences mais bon on le soleil, on va profiter à fond de la dernière nuit et du bonheur d être en mer et bien sûr sans ménager les bateaux dans les parages de la souris.

jeudi 20 juillet 2017

Franck vous a raconté dans son message précédent, notre visite de la superbe cote de la Galice et notre option de passer l intérieur de la DST qui s est avérée catastrophique surtout cause du trs faible vent que nous avons eu toute la journée d hier, moins de 5 nds au sud de cette DST a notre passage.
Les premiers sont passés avec du vent et ceux a l extérieur également. Nos fichiers météo annonçaient un vent plus fort. Donc une journée de prs débridé petit temps, sans voir le couleur de l Alizée portugais et en comptant les bateaux qui nous dépassent sous genake, (voile que je n ai pas...) . Dommage avec tout ça nous avons perdu au moins 20 places
Maintenant,il semble qu il n y ait plus beaucoup d options tactiques. Un bord quasi direct sur Madre, juste un empannage ce matin pour quelques heures avant de se caler sur tribord pendant 2 jours... le vent entre 15 et 20 nds , des conditions ou tous les bateaux vont vites, srement quelques opportunités d en gratter quelques uns mais rien miraculeux.
A bord tout va bien, le bateau également, pas de casse matérielle, des manuvres réussies avec Franck sans besoin de se parler, chacun connaît son rôle, c est super, on se repose bien, l e rythme du large que nous aimons tant s'est installé, juste une petite déception de ne pas faire la course devant, mais ce sera pour la prochaine étape..
Tout va bien bord de la souris mermon
Bises tous.
Jp

mercredi 19 juillet 2017

Petite histoire de mer

Ce soir pour vous changer les idées, une petite histoire d'un duo de navigateurs dont vous n'avez peut être pas entendu parler... Un duo, un peu comme nos camarades, à deux sur un bateau...

Guirec Soudée, un navigateur breton de 24 ans, réalise un tour du monde à bord de son voilier Yvinec. Sa particularité ? Il accomplit ce voyage extraordinaire avec sa poule nommée Monique, une belle rousse rencontrée  lors d’une escale aux Canaries. Un vrai coup de foudre. Il décida ainsi d’embarquer sa cocotte sur son bateau.
Après leur transatlantique effectuée en mai 2014, les deux compères ont ancré pendant plus d’un an dans l’île de Saint-Barthélemy avant de mettre le cap sur l’Arctique. C’est en août 2015 qu’ils ont pu rejoindre le Groenland. Là-bas, ils ont sillonné la côte Ouest pendant 3 mois et passé 130 jours dans une baie isolée sans moyen de communication, le bateau pris dans la banquise groenlandaise. Et grâce aux 106 œufs pondus par sa poule, le jeune navigateur a pu se sustenter ! Et oui, contrairement aux idées reçues, les volatiles pondent l’hiver et même sur un bateau !
.....

AH ce vent...

Bonsoir
Aujourd'hui la journée a été rude pour nos compères
le vent n'est pas encore avec eux, espérons que ça va changer...
aujourd'hui ils n'ont pas gagné de places, c'est sur mais s'ils sont passés de 33ème ce midi à 38 ème à 16 heures, ils sont toujours 38 ème à 20h...
Peut être aurons nous une bonne nouvelles demain matin...
Vont ils remonter quelques bateaux...??


mardi 18 juillet 2017

Le vent leur fait la misère...

la mer est mauvaise
le vent ne va pas dans le bon sens et pour reprendre le SMS de Jean Paul ce soir,
La misère risque de durer encore quelques heures. On ne peut pas rivaliser en cap avec les autres. C'est vraiment trop con.
Eh oui ce n'est pas le bon vent pour la Souris, comme ils nous l'ont raconté sur leurs posts précédents...
Mais rien n'est joué, même s'ils ont perdu 6 places entre le point de 16h et le point de 20h.
Après le cap Finistère, le vent leur sera plus favorable et alors....

pour l'instant la mer est très mauvaise...


ce n'est pas cette nuit qu'ils verront des poissons volants....



ou des dauphins...


A demain pour la suite des aventures de nos courageux marins...

2 eme jour

J'ai oublié de citer dans les améliorations apportées au bateau le fameux génois Belge qui nous a été très utile aujourd'hui. C'est la voile la plus sexy du bateau : imaginez un foc taillé comme un soutient gorge saxo maso ! Il s'agit d'un foc fait uniquement avec des sangles qui permet de combler tout le triangle entre l'étai et le mat afin d'éviter que le spi ne vienne s'enrouler autour de l'étai. Bref une voile pour les nuls, d'où le nom.

Aujourd'hui a été assez agréable et pénible à la fois : la nuit a été plutôt calme mais noire. Heureusement le ciel était clair mais la lune n'est venue que vers 3 heures du matin. Sans lune, il est difficile de voir les voiles. JP et moi avons fait des quarts de 2 heures avec quelques changements de voiles aux moments de la relève. Nuit plutôt courte et hachée.
Des 15 nœuds de vent attendus par la météo, c'est plutôt du 20/25 nœuds que l'on a eu toute le journée avec une mer très formée par rapport au vent. Bref, le golf de Gascogne ! Il a fallu barrer toute la journée car le pilote automatique n'est pas capable de négocier ces vagues courtes et pointues. Belles glissades à la clé avec des pointes régulières à 16 nœuds. Le ciel s'est couvert assez rapidement et toute la journée a été grise.
Nous avons été tellement pris par la tenue du bateau qu'il a été difficile de charger les fichiers météo. Ce n'est qu'en milieu d'après midi que nous avons eu le temps de la faire. Il nous faut au moins 30mn de calme pour le faire et ensuite il faut faire les simulations sur notre outil de routage pour faire les choix tactiques pour passer le cap Finistère avec sa grande DST. Les simulations montrent 2 possibilités : soit passer au ras des cailloux de la Corogne soit passer au large de la DST Pour bénéficier plus tôt de la bascule de l'ouest après le passage du front froid. L'eccart entre les 2 routes n'est que de 1H30 en faveur du rase cailloux mais cette option ne nous plaît pas car elle nous fait faire plus de près. On va attendre le fichier METEO de demain pour se décider.
La journee se termine dans le gris avec un vent faiblissantnmais toujours autant de vagues démesurées par rapport au vent.
On espère avoir remonté des places à la fin de cette journée épuisante mais avec une souris qui nous a fait des superbes plannings (en espérant plus que les autres)
On n'a pas le temps d'exploiter le fichier des classements envoyés par le comité de course donc on ne voit que les bateaux qui sont autour de nous grâce à l'AIS. Et ce soir il n'y en a plus que 10 ! L'Atlantique est grand ! Si Frédéric pouvait nous envoyer par SMS sur l'Iridium l'heure,notre position et la distance au 1er, cela serait super

Franck et JP

deuxieme jour, le rytme s installe

Bonsoir à tous
je profite d'un moment de calme pour revenir sur cette deuxième journée où nous avons retrouvé les grandes sensations de vitesse typiques à la transquadra. Notre Objectif était de descendre plein vent arrière vers la Corogne par un vent de 20 à 28 noeuds et surtout par une mer vraiment forte et désordonnée assez étonnante compte tenu du vent.
Avec Franck nous nous sommes relayés à barre toute la journée en maintenant le bateau sur la vague à la limite de l empannage à des vitesses entre 10 et 15 noeuds. Nous avons en une journée fait plus d empannages que pendant toute la transquadra précédente. Tout s est bien passé, pas de "cocotiers", des empannages réussis parfois un peu chauds mais bon...
Le passage de la pointe espagnole est assez tactique cette année avec une zone de calme dans laquelle nous rentrons en ce moment vers 2h du matin, puis le passage d un front cad une dépression donc du vent de SW avant une bascule au NW et l ouverture de la route directe (au presque) vers Madère. Nous avons encore un doute sur tactique, passage près delà côté ou au large à l extérieur de DST ( rail des cargos interdite pour nous)
Voilà comme dit au début le rythme s installe, tout à bien à bord
Jean paul et Franck

lundi 17 juillet 2017

Quatorzième ce matin

La nuit a été très bonne pour Franck et Jean Paul
Nouveau point à midi avec j'espère une impression de leur part...
à suivre....
ça commence à chauffer!!!

2ème jour....

Bonsoir
Alors au point de 20 h ils ont perdu 4 places mais rien n'est joué... ils ont pris l'option ouest...
L'avenir nous le dira....

espérons qu'ils ne vont pas se la couler douce....






mais ils doivent rester ZEN



parce que pn ne veut pas les voir mal placés au bout de la nuit....




pas d'inquiétude ils doivent être aux aguets ....





ils n'ont pas la tête à l'envers ....


allez on va avoir des nouvelles nouvelles dès demain matin
avec un peu de chance on aura un SMS nous donnant des impressions et sinon  je vous parlerai de Cédric qui a traversé l'atlantique en duo avec sa poule....

dimanche 16 juillet 2017

1er jour

1er jour 20 :00
C'est avec un ciel limpide, 10 nœuds de vent de travers, sous spi asymétrique de 75m2 (bleu) que j'ai le temps d'écrire ces lignes bien assis au fond du cockpit. Jean Paul se repose une petite heure dans le Pouf (innovation de cette année) dans la coursive tribord au pied de la table a carte. Il y a une grosse houle longue de 1 mètre qui balance gentiment le bateau verticalement alors que le pilote automatique garde imperturbablement son angle de vent apparent a 73 degrés. Réglage qui semble être la vitesse maximum du bateau avec ce spi et ce vent. Nous avançons très régulièrement a 7.7 nœuds.
La journée a été très occupée pour tout finaliser avant le départ du ponton vers 13 :15 :
Charger les derniers fichiers météo tant que l'on a de l'internet rapide avec nos téléphone 4G. Une fois en mer, obtenir ces fichiers via nos téléphones satellites Iridium est environ 100 fois plus lent et surtout nous sommes limités à 50Ko ce qui est aussi 200 fois plus petit. Donc on ne pourra pas faire des analyses aussi poussé en mer.
Dernier briefing avec Dominic Vittet, le spécialiste du routage pour les pro, qui nous donnes les dernières instructions pour la course. Après, on n'aura plus le droit à de l.aide extérieur. 
La visite d'amis qui nous fait très plaisir : Isabelle et Robert, Xavier et Catherine, Jannick et Bernard, Olivier, sa femme et sa fille venus spécialement d'Annecy !
Briefing de l'organisation pour donner les dernières instructions à tous les coureurs. Les Solos partirons 28mn avant les Duos. Dernière consignes pour utiliser notre balise de tracking qui permet aussi de donner des informations au comité de course en cas de problème. 

Très belles conditions pour ce départ. Vent régulier de 10-12 nœuds et très beau temps. Départ plutôt bien réussi que malheureusement nous ne pouvons pas profiter longtemps car au près dans ces conditions notre bateau est un des plus lent même avec les énormes améliorations que Jean Paul a apportées cette année : toutes les voiles sont neuves, les safrans ont été complètement refaits, la coque est une vraie peau de bébé dixit JP et l'hélice moteur maintenant protégée par un carénage pour éviter qu'elle ne prenne les algues. Nous arrivons à la bouée de près à l'ouest de l'ile de Groix en queue de peloton mais pas si loin du groupe qui reste assez compact. 
Nous plongeons rapidement sous la flotte pour lancer notre ´string rouge' (pour les non initiés, le spi asymétrique de 65m2 qui permet de faire du vent de travers) car sans cette arme, nous resterions derrière le peloton. Puis un peu plus tard, le vent faisant ce qui était prévu, tourne à droite, nous changeons pour passez au spi bleu de 75m2. Et nous voilà donc sous la flotte en attendant que le vent continue à tourner ce qui nous sera favorable plus tard.

À suivre

Franck

Prochaines nouvelles...

Le premier point de classement à partir de 20 Heures, heure française...
à suivre...




Ils sont partis....

Ca y est ils sont partis....
allez y... c'est




tout droit....

depart jour j

Bonjour à tous
Départ dans quelques heures sous soleil. Après un prologue hier autour de groix dans un vent de thermique, nous sommes prêts. Pour une fois l électronique semble fonctionner et nous sommes avec Franck aux taquets'.... descente du golfe au portant, un passage de front (dépression) à bien négocier mercredi avec du près dans 20 à 25 noeuds puis une trace vers madère à fond....
bon dimanche à tous

samedi 15 juillet 2017

Le grand jour, c'est demain...

Pas de vent du tout aujourd'hui....





Finalement pas de démo autour de l'ile de Groix pour faire admirer les bateaux, faute de vent, le public est déçu...



De notre coté aussi on est déçu... pas de navigation aujourd'hui, donc pas de pirate en vu...



Mais ce n'es que partie remise...
La course commence bien demain comme prévu à 15h




aujourd'hui un bateau à vapeur aurait été plus performant...


Mais ce n'est plus l'heure de parler d'aujourd'hui,
demain c'est le grand départ...
Route sur Groix au près pour après filer au portant avec un peu de vent et c'est l'idéal pour la Souris Mermon qui aime vraiment le portant...
ils espèrent bien glisser ainsi...
peut être mettront ils le ski Rouge...


ou le bleu...



ou le violet??



Jean Paul au téléphone ce matin avait une bonne voix et disait que tous les deux avaient la niaque et avaient très envie de partir et de se battre, ils sont impatients... 
mais les prévisions météo ne sont pas bonnes au large de l'Espagne avec un manque évident de vent... mais tout peu encore changer



la suite demain....
nous avons été plus de 30 à prendre des nouvelles sur le blog hier
à demain

jeudi 13 juillet 2017

Encore deux jours et c'est le départ...

Ca y est le bateau a été remis à l’eau. 
Il est prêt!
Tout beau, tout propre, tout lisse...
Jean Paul a mis au point une ruse devant le pied de l’hélice. Un profilé pour essayer de ne pas être gêné par les algues… Ah ces algues, toujours ces algues… Pourtant on en entendra parler seulement dans la deuxième partie de la course…










Et pour le moment…
Adieux les troquets, concentration maxi…









…A quelques heures du départ on peut imaginer nos camarades à fond le nez plongé dans leurs fichiers météo…







allez les gars on est déjà avec vous....
A demain